라캉은 시각의 덫이 걸려드는 방식이 [발광점]으로부터 발산되는 원천에 있다고 했다.
그 빛의 점은 직선이 아니라 굴절되고 확산된다.
이러한 [빛의 유희]에 의해 우리의 눈 깊은 곳을 유혹하고 사로잡는 것이다.
빛이 나를 응시하고 그 빛은 우리의 눈 속에 깊이 저장된다.
이것이 [빛의 굴절]에 의한 주체의 사로잡힘으로서, [길들여진 응시]라는 개념이다.
[길들여진 응시]는 응시의 승리에서 오는 것이며, 일종의 속임수다.
빛에 의해 [길들여진 응시] 속임수같은 덫에 걸려들기 때문이다.
그래서 바라보는 눈과 보여지는 응시는 [미혹]의 관계로서 새로운 관점을 보여준다.
[길들여진 응시]라는 개념으로 [도판, 에드워드 호퍼; 오전 11시]를 분석해보면,
나체의 여인은 의자에 앉아 창밖을 바라본다. 여인은 바라보고있는 주체이다.
그러나 그녀는 스스로 창밖의 사람들이 자신을 볼 수 있는 관음증의 자리에 섬으로서, 정어리 깡통처럼 응시의 대상이 된다.
여기서 그녀의 몸을 관통한 빛 [대상인 응시 a = 그림속의 여인] 은
어디선가 보고있을 바라봄의 주체 [훔쳐보는 자]를 사로잡고 ,
응시의 사로잡힘에 의해 보는 주체 [ $ ; 창밖의 관음자] 와의 기묘한 시선과 응시의 교환이 시작된다.
빛의 여인을 바라보는 화면안 타자와 화면 밖 관람자인 우리의 눈은 나체의 빛의 굴절과 인상으로 우리의 눈을 유혹하고 잡아끈다.
기호의 막에 의한 사로잡힘에 의해 [ = 덫에 사로잡힌] 화면안 타자와 화면 밖 타자의 미묘한 긴장이 감돈다.
거리를 둘 수 밖에 없는 미묘한 사이에서 봄과 보여짐의 엇갈린 교차를 만난다.
그것은 불길한 만남의 [투케]인 것이다.
이 둘사이에 있는것은 평면적, 시각적 공간과는 다른 [응시의 점][빛의 점]
[여기서 응시 대상 a 는 ㅡ> 주체 $ 로, 주체 $는 ㅡ> 빛의 점 대상 a 로부터 ㅡ> 주체 $ 로 변환되어,
이들의 교차에 의해 ◇ 이 생성됨] 에 의해 생겨나는 애매모호한 깊이이다.
이 깊이란 주체와 대상이 서로 반대방향으로 포개진 두개의 [뒤엉킴] [포갬] [교착]으로 형성된 [결핍]인 [틈새 ◇] 인것이다.
틈새는 라캉의 도식에서 주체와 대상 [응시] 교집합에 해당된다. ($ ◇ a)
욕망하는 주체는 대상을 획득하는 순간 그 대상은 신기루처럼 사라진다.
실재처럼 보였던 그 대상은 진짜가 아니라, [허구]였던 것이다.
그러므로 오브제아는 [허구적 이미지]이며 이 허구가 실재계에 난 [틈새]이다.
주체는 반복적 연쇄고리인 실재계속에서 [우리밖의 우리가 되어] 환성의 이미지를 바라보는 것이다.
여기에는 어떠한 일치도 없고, 근본적인 눈의 미혹만이 있다고 가정한다면,
덫에 빠진 화면안 [보이지않는 창문밖 관음자들] 타자나 화면밖 타자 [관람자]가 대상의 응시를 요구할때 ,
충족되지않고 항상 결여되어 있는 것이 있다면,
[당신 [여인]은 절대로 내가 너를 보고있는 곳에서 나를 응시하지않기 때문이다]
타자또한 결핍을 소유한 허구이기때문에, [장갑과 손가락]의 엇갈린 만남 [투케]처럼, 역으로
[내가 바라보는 것은 결코 내가 보고자하는 것이 아닌것이다.]
이러한 눈과 응시의 분열을 통해, 라캉은 인간이 결여를 소유한 소외된 욕망의 주체임을 보여준다.
[2023 ㅡ 2024년도 이 인구 박사논문에 실릴 내용입니다.]
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Lacan disait que la manière dont le « piège » de la vision était attrapé réside dans le source jaillissante du « point lumineux ».
La limière n’est pas une ligne droite, mais se réfracte et se diffuse.
C’est séduire et captiver le fond de nos yeux par ce jeu de lumière. La lumière me regarde, et la lumière me regarde,
et la lumière est stockée profondément dans nos yeux.
C’est la notion du « dompte – regard » en tant que captivité du sujet par « réfraction de la lumière ».
« Le dompte – regard » vient du triomphe du regard, et est une sorte de tromperie.
Parce qu’on est pris au piège (le dompte – regard) par la lumière.
Alors le yeux regardant et le regard visible montrent un nouvel aspect comme une relation de « leurre ».
Analysons l’oeuvre de Edward Hopper avec le concept du « dompte – regard ». (Image : Onze heures du matin)
Edward Hopper ㅡ Onze heures du matin, Huile sur toile, 1926
La femme nue est assise sur une chaise et regarde par la fenêtre. La femme est le sujet qui regarde.
Mais elle -même se trouve dans un place où les gens de l’autre côté de la fenêtre peuvent la voir, comme une boîte de sardines, elle devient l’objet de regards.
Ici, la lumière traversant son corps (le regard : objet a) = la femme sur le tableau) capte le sujet du voir (omnlvoyeur) qui regarde quelque part, par la captivité du regard, un échange de l’œil et de regard étrange avec le sujet voir (S : voyeur (omnlvoyeur) hors de la fenêtre) commence.
L’autre dans l’écran en regardant la femme de lumière et Nos yeux spectateurs hors écran (champ),
attirent nos yeux par la réfraction et l’impression de la lumière nue.
En étant captivé par la voile du signe (le voile d’écran), il y a une tension subtile entre l’Autre à l’écran et hors écran.
Entre eux subtils qui n’ont que de garden leur distances, rencontrent le chiasme décalé. Ce sont la « tuché » d’une rencontre malencontreuse.
Ce qui se trouve entre les deux, c’est la profondeur ambiguë créée par le « point de regard » (le point de lumière) qui est différent de l’espace visuel plat. (Ici, le regard (objet a) → en sujet $, le sujet $ est → le point lumière, de l’objet a → Converti en sujet $, ◇ est produit par leur chiasme)
Cette profondeur est la « béance/ fente ◇ », un « déficit » formé de deux « entrelacs » (Interlacing, Intertwining)
« entrecroisement » « chiasme » dans lesquels le sujet et l’objet se superposent en sens opposés.
La béance correspond à l’intersection vide du « losange » qui apparaît dans la béance, entre le sujet et l’objet « regard » croisés dans le schéma de Lacan. ($ ◇ a)
Au moment où le sujet qui désire acquiert l’objet, l’objet disparaît comme un mirage. L’objet qui semblait être réel n’était pas réel, mais une « fiction ». L’objet a est donc une « image fictive », et cette fiction est une intervalle dans le réel.
Le sujet voit l’image fantasmatique « devenir nous en dehors de nous » dans le réel, qui est une chaîne répétitive.
A supposer qu’il n’y ait ici aucun accord et seulement un leurre de l’œil fondamental,
lorsque l’Autre sur l’écran pris au piège (les omnivoyeur invisibles dehors la fenêtre) ou un autre hors – écran (spectateur) demande le regard de l’objet, s’il y a quelque chose d’insatisfait et qui manque toujours, parce que
« jamais tu ne me regardes là où je te vois. » Lacan
Puisque l’autre est aussi une fiction avec une déficience, comme tuché d’une rencontre décalée de « gants et doigts », inversement,
« ce que je regarde n’est jamais ce que je veux voir. » Lacan
Par cette division des yeux et du regard, Lacan montre que les êtres humains sont les sujets de désirs aliénés possédant un manque.
* Ce texte sera inclus dans la thèse de doctorat 2023-2024, nom de artist: In gu LEE, (Yin koo LEE))
프랑스어 수정이 부족한대로 그냥 올려볼께요. Je vais juste le mettre en ligne car la correction française est insuffisante.
Pourriez-vous me dire les fautes de français? ou lequel est le meilleur, le mot entre ( ) ou le mot à l'extérieur ?
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