|
·
Moon gravity faked using video FPS slowdown.
The analyses presented here show that by playing with the slowdown coefficient, it is possible to give the illusion that a movement filmed on Earth is a lunar movement.
Today, video pointing software makes it possible to make simple position measurements, which, once plotted and compared with theoretical values, highlight some anomalies, and allow everyone to check himself.
https://www.facebook.com/100089626748281/videos/904279178029577
0:18 / 44:35
Les équations de la physique permettent de prévoir avec précision l'évolution d'un pendule ou de déterminer la hauteur du lancé d'un fût de bière, d'un marteau ou d'une chaussure qui tombe dans le vide.
A cette échelle les équations de la physique sont déterministes!
Dans cette vidéo, les équations permettent de mettre en lumière certaines anomalies qui ont dû échapper aux cinéastes ayant réalisés les vidéos des missions Apollo pour le compte de la NASA!
Par exemple, dans Apollo 17, station 6 ...
Ref NASA : a17v.1652635
Time code : 165:26:35
... y a t-il un mauvais cadrage de la caméra par rapport à l'horizontal? Le décor dévoilé par le dézoome de la caméra montre pourtant que l'horizon est bien axé et que la caméra n'est pas mal orientée par rapport à l'horizon.
En effet, voici ici à t=12minutes et 48 secondes, , on voit très clairement que la caméra n'est pas mal orientée par rapport à l'horizon!
Donc :
- soit la caméra est orientée à 40° par rapport au vecteur de gravitation et il a eu une erreur de positionnement du décor par rapport aux mouvements,
- soit qu'il y a une force supplémentaire qui tire "l'astronaute" vers l'arrière... (câbles de soutien ?? )
D'autres exemples présentés ici permettent d'illustrer et de comprendre qu'en jouant sur le coefficient de ralentissement, il est possible de donner l'illusion qu'un mouvement filmé sur terre est un mouvement sous gravitation lunaire.
Ainsi, de nombreuses anomalies permettent de déduire que les vidéos des missions Apollo ont, en réalité, été réalisées en studio, sur terre, et que des artifices cinématographiques ont été utilisés pour tromper les téléspectateurs.
Les logiciels de pointage vidéo permettent aujourd'hui de réaliser de simples mesures de position, qui, une fois tracées et comparées aux valeurs théoriques, mettent en évidence toutes ces anomalies, et permettent à chacun de vérifier afin de trancher sur cette question.
Pour aller un peu plus loin, voici comment déterminer les courbes théoriques d'un mouvement (lunaire ou terrestre) sans connaitre, ni l'impulsion de départ, ni les conditions initiales mais simplement la position de l'apogée:
Les données d'entrées sont les vidéos prises sur le site de la NASA en 30FPS.
La saisie des points est réalisée avec le logiciel Regressi (c'est un logiciel de pointage vidéo qui permet de mesurer des trajectoires d'objet filmées dans un plan).
Les données mesurées (tableau : / temps (seconde) / X(mètre) / Y(mètre) /) sont extraites et travaillées sous Excel.
Seuls des séquences en deux dimensions sont analysées car les calculs se compliquent en troisD. (En 3D il faut introduire les coefficients correctifs qui deviennent discutables).
La calibration se fait en connaissant la taille d'un objet qui est dans le même plan que le mouvement étudié (souvent je prends le PLSS connu pour être de 67cm).
Pour tracer la trajectoire théorique d'un saut, On peut commencer par caller le temps t=0 sur l'apogée du mouvement.
La composante verticale théorique après l'apogée est alors une simple courbe de chute libre, donnée par Y= Y0-1/2gt^2 projeté dans le référentiel choisi (translation simple en fonction de l'origine du repère) ; Y0 est la hauteur du point de l'apogée dans ce référentiel choisi.
Cela donne la courbe de la composante verticale de la chute Y(t) pour la descente.
La courbe de la monté est tout simplement symétrique par rapport à l'apogée donc la courbe Y(t) est très facile à calculer.
Il est assez simple de montrer que finalement, de façon générale, la courbe de la composante verticale est tout simplement donnée par Y(t)=Y0-(g . (t-instant_Apogée)^2)/2.
La courbe X(t) est encore plus simple, il suffit de mesurer la vitesse longitudinale au départ (V0x) et on a directement X(t)=V0x . t .
Connaissant Y(t) et X(t) il devient alors trivial de déduire Y(X) la trajectoire théorique.
Il suffit alors de superposer les trois courbes théoriques (Y(t) X(t) et Y(X) et celles mesurées via Regressi.
Quand on fait cet exercice avec des vidéos terrestres on voit que ça colle au pixel près, toutes les trames sont différentes et le mouvement est lisse.
Dans les exemples de cette vidéo ce n'est pas tout a fait exacte car le fût de bière est légèrement jeté en 3D. Mais c'est quand même assez juste !
Sur les vidéos Apollo, ce n'est pas toujours le cas. Les objets tombent souvent trop vites et il y a des trames répétées plusieurs fois. Il y a parfois des changements de vitesse.
Pour minimiser les incertitudes plusieurs mesures ont été réalisées.
En postulat il est considéré que g=1.622m/s^2 pour la lune et g=9.81m/s^2 pour la terre.
Enfin, l'hypothèse qu'il y ait un ralenti "variable" pour simuler la gravitation lunaire en fonction des scènes permet de donner une meilleurs cohérence aux mouvements.
En effet, si on filme une chute libre en 59FPS, et si on la relit en 24FPS, le résultat sur la pellicule est un mouvement de chute libre précisément égal à un mouvement sous gravité lunaire !!
Cela fonctionne avec une chute, un pendule ou tout mouvement libre sur terre. ([ cela vient du fait que 24/59=racine(1.622/9.81) ])
Toutes ces mesures montrent que les vidéos des missions Apollo ne sont pas authentiques.
Elles ont été filmées sur terre, puis, il leur a été appliqué un ralenti variable en fonction des séquences.
Le ralenti est variable, il vaut environs 40% pour des mouvements libres et il est ajusté finement selon qu'on a un homme qui marche, qui saute ou qui lâche un objet.
Cette méthode est très ingénieuse mais l'erreur est humaine... Des imperfections sont passées à travers, elles se voient et s'expliquent très simplement avec cette hypothèse.
This video shows that physics equations can be used to accurately predict the evolution of the height of a beer keg throw, a hammer or a shoe that falls into vaccum.
In the same way, these same equations make it possible to highlight certain anomalies that escaped the filmmakers who made the videos of the Apollo missions on behalf of NASA.
The analyses presented here show that by playing with the slowdown coefficient, it is possible to give the illusion that a movement filmed on Earth is a lunar movement.
There are many anomalies that allow us to deduce that the videos of the Apollo missions were actually made in a studio, on Earth, and that cinematic artifices were used to deceive viewers.
Today, video pointing software makes it possible to make simple position measurements, which, once plotted and compared with theoretical values, highlight all these anomalies, and allow everyone to check in order to decide on this question.
·
https://www.facebook.com/100089626748281/videos/904279178029577
|