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Daveluy 主敎와 Pierre Maubant 神父의 原文
卞基榮 神父 註:단어 풀이:프랑스어 원문에 나오는 “Maître”라는 말은 영어(master), 프랑스어(maître), 이태리어(maestro), 등에서, “스승”이라는 뜻을 가지고 있는데, 원문의 la parole du Maître 와 같이, 첫 글자를 大文字로 쓰게 되면 일반적 의미의 “스승”이라는 뜻이 아니라, 孔子, 孟子, 예수, 석가머니釋迦牟尼, 소크라테스, 같은 인류의 위대한 대성현군자(大聖賢君子)를 의미한다. 그러므로 이승훈 선생이 이 벽선생의 말씀을 대성현 (大聖賢)의 권위있는 말씀으로 받아들였다는 뜻이다.
다불뤼 주교의, [조선순교자 비망록] 원본 제4권 첫머리 제 1면
다불뤼 주교의, [조선순교자 비망록] 원본 제4권 첫머리 제 2면
다불뤼 주교의 조선순교자 비망록 제4권 첫 머리 5면에서 정약용의 영세를 기록하여 주었다.
모방 신부 문헌 <프랑스 선교사로서 조선에 최초로 입국하여, 김대건 소년 등을 마카오로 보낼 때 추천서를 쓴 조선 천주교회 단체가 이미 결성되어 있었음을 밝히고 있다.>
Msgr. Byon 변 묜시뇰
<다블뤼 주교의 朝鮮殉敎史 備忘錄 序文의 프랑스어 원문과 우리말 번역문:>
Notes pour l\'histoire des martyrs de Corée vol 4 (pp. 5 - 29)
(Les documents dans lesquels nous avons puisé la plupart des faits relatifs aux origines de la religion en Corée ont été réunis par Tieng Jak iong dont il est parlé souvent. Il fut nommé Jean au baptême. Il eut part à presque toutes les affaires de la religion ab initio et était parent ou ami de presque tous les principaux chefs. Homme distingué dans les lettres et les charges publiques, il eut la faiblesse d\'abandonner la Religion, ce qui ne lui évita pas l\'exil en 1801. Gracié plusieurs années après, il pratiqua avec ferveur, se livra longtemps à tous les exercices de la piété et d\'une grande mortification exemplaire et mourut fort chrétiennement. Il a laissé en outre quelques écrits religieux. Nous n\'avons fait que copier et relier ces notes malheureusement trop brièves, mais fort bien écrites.)
L\'instrument dont Dieu se servit pour donner le premier branle à la Religion dans le royaume de Corée fut Ni Pieki appelé Tektso et surnommé par lui-même Koang am. Pieki descendait de la famille des Ni des Kieng Tsiou et parmi ses ancêtres qui étaient déjà dans les dignités sous la dynastie Korie on comptait plusieurs membres distingués dans les lettres et par les dignités civiles qu\'ils avaient obtenues. Depuis trois générations cette famille s\'était livré aux exercices militaires et avait occupé des charges importantes dans cette nouvelle carrière. Pieki naquit doué de mille belles qualités du corps et de l\'esprit. Dès l\'enfance son père voulut l\'appliquer aux exercices de l\'arc, de l\'équitation et autres qui puissent lui faire obtenir les degrés militaires; mais celui-ci s\'y refusa constamment au point de dire que dut-il mourir il ne s\'y livrerait pas. De là il perdit en partie l\'affection de son père qui l\'appela Pieki voulant par là désigner son caractère trop attaché à ses idées. En grandissant Pieki devint d\'une force et d\'une stature énorme. Il avait une taille de huit pieds et d\'une seule main pouvait enlever cent livres. Large et bien fait, son extérieur était imposant et attirait naturellement tous les regards. Ses talents ne le cédaient pas à un extérieur si avantageux. Sa facilité de parole pouvait se comparer à l\'écoulement majestueux d\'un fleuve et doué d\'une intelligence supérieure en tout il ne cherchait que la raison des choses et les vrais fondements de la doctrine. Partout il s\'occupait à pénétrer le fond des choses et dans l\'études des livres sacrés du pays, dès sa jeunesse, il s\'efforçait d\'en saisir les sens profonds.
De si heureuses dispositions lui permettaient personnellement un avenir brillant. Il se livra de bonne heure à l\'étude des livres des plus fameux docteurs de ce temps et pour assurer le succès de ses travaux il chercha à se lier avec tous les gens instruits qui voulaient l\'aider et le diriger dans la science. Se souciant peu des usages et de l\'étiquette, il avait quelque chose de grand et élevé, mais aimait les paroles plaisantes, il n\'eut jamais la noble dignité qui distingue les docteurs de profession(hak tsia). Tel nous est représenté Pieki par les documents du temps.
C\'était en l\'année 1777(tieng iou). Le fameux docteur Kouen T\'siel sini, accompagné de Tieng Jak Tsieni et plusieurs autres nobles studieux et amateurs de la science, se rendit dans une pagode pour s\'y livrer ensemble à des études profondes. Ni Pieki l\'ayant appris en fut rempli de joie et heureux de pouvoir profiter des leçons de ces hommes remarquables il prend de suite son parti d\'aller les trouver. C\'était l\'hiver. La neige couvrait partout les routes et la distance était de plus de cent lys: mais de pareils obstacles étaient loin de pouvoir arrêter ce cœur ardent et si avide de la science et de la sagesse. Il part de suite et à travers ces chemins difficiles et ardus il ne sent pas la fatigue. Le jour tombant ne peut le déterminer à retarder la réalisation de ses désirs et continuant sa route de nuit il parvient enfin à une pagode vers minuit. Quel n\'est pas son désappointement en apprenant qu\'il s\'est trompé de pagode et qu\'il fallait aller de l\'autre côté de la montagne. Sans se décourager il pousse sa pointe. C\'est une énorme montagne qu\'il faut franchir de nuit. Elle est couverte de monceaux de neige et des tigres nombreux en défendent les abords. N\'importe! Pieki fait lever tous les bonzes et se fait accompagner par eux. A la main il prend un bâton ferré pour se défendre des attaques des sauvages ennemis et poursuivant sa route à travers les épaisses ténèbres, il arriva enfin au lieu si désiré.
Une arrivée si étrange répandit la frayeur parmi les habitants de cet édifice isolé et perdu dans le sein des montagnes.
On ne pouvait se figurer quel motif amener à une heure si indue des hôtes si nombreux: mais bientôt tout s\'étant éclairci, la joie le bonheur succédèrent à la crainte et dans les épanchements suggérés par une rencontre si heureuse on s\'apperçut à peine que déjà le jour avait point. Pendant plus de dix jours que dura cette réunion, on approfondit toutes les questions sur le ciel, le monde, la nature humaine etc., tous les doutes et les opinions des anciens furent mis sur le tapis. De là on étudia les livres de morale des grands hommes; puis on en vint à examiner quelques livres philosophiques et mathématiques composés en chinois par les Européens, et on mit tout le soin possible à les approfondir. Enfin les études et conférences se portèrent sur quelques livres élémentaires (D\'où venaient ces livres?) du christianisme. on ne sait au juste d\'où ces livres étaient venus. Ils avaient seulement alors entre les mains quelques traités sur l\'existence et la providence de Dieu, sur la spiritualité et l\'immortalité de l\'âme et sur la manière de régler ses mœurs en combattant les sept vices capitaux par les vertus contraires. Accoutumés aux doctrines obscures et confuses des livres chinois, ces hommes droits désireux de la vérité n\'eurent pas plutôt examiné les fondements de notre Sainte Religion qu\'ils entrevirent tout ce qu\'il y a de grand, de beau et de palpable dans cette doctrine; et sans pouvoir l\'approfondir davantage, faute de livres, leurs cœurs furent aussitôt émus et leurs yeux s\'ouvrirent à la Foi. Tant il est vrai que la vérité porte toujours avec soi son cachet. Sa lumière brille toujours aux yeux de tous ceux qui la cherchent et tout cœur droit ne peut rester insensible aux impressions qu\'elle dépose comme un germe de bonheur. (Qu\'il est beau et consolant de voir ces hommes qui dans leur pays marchaient à la tête de la science, parvenus à la connaissance de la vérité) Voilà donc nos amateurs de la sagesse imbus de la Religion et subjugués par l\'évidence de ses fondements. Ils eussent désiré se mettre de suite à la pratique de toutes ses règles: mais les livres qu\'ils avaient entre les mains ne suffisant pas pour les diriger, ils durent se contenter de se prosterner tous les jours matin et soir pour se livrer à la méditation. Puis ayant vu quelque part qu\'il y avait de sept en sept jours un jour consacré au Seigneur, tous les 7, 14, 21, 28 du mois ils cessaient toute affaire du monde pour penser aux exercices de l\'âme et y faisaient abstinence. on ignore combien de temps ils continuèrent ces exercices, mais ils les faisaient dans le plus grand secret sans en parler à aucun autre et il est probable par la suite des faits que la plupart du moins n\'y furent longtemps exacts.
Le cœur ardent de Pieki avait reçu un germe fécond. Il sentait combien ce commencement était peu de chose, et toutes ses pensées et toutes ses vues se portaient vers la Chine où il espérait trouver les livres nécessaires pour compléter l\'œuvre commencée. Plusieurs années se passèrent dans cette anxiété et les efforts qu\'il fit pour parvenir à son but ne nous sont pas parvenus. Au commencement de l\'été 1783, 15 de la 4ème lune trici mio, après avoir été à Matsai dans la famille Tieng, pour l\'anniversaire de la mort de sa sœur, il monta sur un bateau avec les deux frères Tieng, Jak tsion et Jak iong pour se rendre à la capitale. Pendant le trajet les conversations et études philosophiques furent encore leur occupation. Après avoir étudié quelques livres du pays, les esprits se portèrent sur la doctrine des Européens. Ils discutèrent au long et en détail des dogmes de la création du ciel, de la terre et de l\'homme, puis de la spiritualité et de l\'immortalité de l\'âme et des peines et récompenses dans le ciel et l\'enfer au siècle futur. Tous convinrent de la vérité de ces dogmes et y ajoutaient foi, et tous les passagers qui entendaient pour la première fois ces vérités si belles et si consolantes en étaient tout hors d\'eux-mêmes et saisis de joie. Il n\'est pas douteux que de pareilles conférences ne se soient renouvelées souvent vers ces époques, et l\'ardeur bouillante de Pieki ne sera pas restée dans le repos, mais les détails ne nous en sont pas parvenus. (Ce qui est certain, c\'est qu\'alors la plupart des gens instruits avaient vu ou entendu parler des livres de science des Européens, et souvent aussi des quelques livres de Religion qui étaient dans le royaume. C\'était à la mode de s\'en occuper et on remarque que dans les compositions littéraires que chaque année lors de l\'ambassade à Péking les Coréens échangeant avec les Chinois on faisait souvent allusion à ces nouvelles sciences. on peut juger par là de la publicité qu\'eurent ces premières notions du christianisme, mais les livres alors existant ne donnaient pas la religion en détails.)
Dieu qui n\'abandonne jamais ceux qui le cherchent dans la sincérité de leur cœur avait fixé cette année pour permettre la réalisation des vœux de quelques âmes droites. Ce même hiver 1783 Ni Tong ouki fut nommé troisième ambassadeur à la cour de Péking, et son fils Sieng houni devait l\'y suivre. C\'est ici le lieu de faire connaître cet homme remarquable qui pendant quelques années va jouer un rôle si important dans cette histoire. Ni Sieng houni appelé aussi Tsa siouri était de la noble famille des Ni de Pieng t\'sang. Ses ancêtres remplirent souvent des charges assez importantes parmi les mandarins civils et sa maison jouissait d\'une haute réputation. Il naquit en 1756(année Pieng tsa). Dès l\'âge de dix ans il passait pour capable dans les lettres et à peine fut-il arrivé à 19 ou 20 qu\'il avait dans tout le royaume la réputation de lettré distingué. Voulant marcher sur les traces des saints de ce pays, il se lia avec ce qu\'il y avait de plus distingué par la science et la conduite et s\'appliquait autant à régler ses mœurs qu\'à se perfectionner dans les lettres. Il fit aussi connaissance avec Ni Pieki, et toutefois la diversité de leurs goûts, caractères et études ne leur permit pas de vivre dans l\'intimité. A l\'âge de 25 ans en l\'année 1780(kieng tsa) il obtint le premier degré de bachelier appelé Tsin sa, et de toute part les regards se portaient sur lui. Ni Pieki ayant appris que Sieng houni devait suivre son père à l\'ambassade de Péking fut comblé de joie et alla de suite le trouver.
Voici d\'après les monuments de l\'époque le discours remarquable qu\'il lui tint: \"Ton voyage à Péking est une occasion admirable que le Ciel nous fournit de connaître la vraie doctrine. La doctrine des saints, du service de l\'Empereur Suprême Créateur de toutes choses est au plus haut degré chez les Européens. Sans cette doctrine nous ne pouvons rien. Sans elle on ne peut se régler le cœur et le caractère. Sans elle nous ne pouvons approfondir les principes des choses. Sans elle comment connaître les différents devoirs des rois et du peuple? Sans elle point de règle fondamentale de la vie; sans elle la création du ciel et de la terre, l\'ordre physique des astres, leurs cours et révolutions régulières, l\'ordre des pôles, etc. ne nous sont pas connus. La distinction des bons et mauvais esprits, l\'origine et la fin de ce monde, l\'union de l\'esprit et du corps, la raison du bien et du mal, l\'Incarnation du fils de Dieu pour la rémission des péchés, la récompense des bons dans le ciel et la punition des méchants dans l\'enfer, etc. etc. etc. Sans la doctrine des Européens tout cela nous reste entièrement inconnu.\" A ces mots Seng houni qui n\'avait pas encore vu les livres de religion fut ému de surprise et d\'admiration. Il demande à voir quelqu\'un de ces livres et ayant parcouru les traités de l\'existence et des attributs de Dieu et le livre des sept vices capitaux combattus par sept vertus contraires, il fut ravi de bonheur et ne possédant pas de joie il demande à Pieki ce qu\'il y avait à faire. Pieki continue en lui disant: \"Puisque tu vas à Péking, c\'est une marque que le Dieu Suprême a pitié de notre pays et veut le sauver. En descendant de voiture va de suite au temple du maître du Ciel, confère avec les docteurs européens, interroge-les sur tout, approfondis avec eux la doctrine, informe-toi en détails de toute la pratique de la Religion et apporte-nous les livres nécessaires. Va, la grande affaire de la vie et de la mort, la grande affaire de l\'Eternité est entre tes mains. Va et surtout n\'agis pas légèrement.\" Seng houni écouta d\'un air soumis ces paroles de Pieki qui le pénétraient profondément et les recevant comme la parole du Maître, il promit de faire tous ses efforts pour réaliser leurs communs désirs. En considérant le discours de Pieki il est facile de voir qu\'il était également altéré de la soif des sciences et de la Religion, et le peu de mots qu\'il prononça montrent que son intelligence avait déjà compris la Religion comme la base du monde et des sociétés. on voit que cette grande affaire était devenue pour lui la seule, l\'unique nécessaire. C\'est aussi que la grâce préparait déjà cet homme à la grande œuvre qu\'il allait bientôt commencer en propageant le premier la semence de la Religion. <계속>
이 두 가지 원천은 지금으로서는 우리가 접근하기가 거의 불가능하다. 간혹 가다가 어떤 작은 조각을 얻을 수 있는 일도 무척 힘이 드는 것이지만, 장차 언젠가 천주교가 허락되게 되면 끈기있고 총기있는 연구들로부터 커다란 성과를 기대할 수 있으리라 생각한다. 그리고 이러한 연구는 분명 섭리에 의해 우리 후계자들에게 맡겨져 있다. 우리는 순교자들의 역사에 이 나라 역사와 풍속에 관한 자료들을 끼워 넣으라는 재촉을 사람들로부터 많이 받았다. 고백하건대 우리는 이 부분을 잘 알지도 못할 뿐더러, 완전히 별도의 작업을 요하게 될 그러한 일을 수행할 시간도 수단도 우리에게는 없다. 한 나라의 풍속은 눈과 귀를 통해 익히는 것인데, 이 나라에서 배척 당하고 있는 우리의 처지, 그리고 언제나 시급한 사목 업무들로 인해 이 두 가지 감각을 사용할 수가 없는 형편이다. 지금처럼 갇혀 사는 처지에 우리가 직접 볼 수 있는 것은 거의 아무것도 없으며, 우리가 만나는 사람들 가운데에 우리에게 풍습이나 관례를 익히게 해 줄 수 있는 유식한 사람도 거의 없다. 게다가 우리가 천주교를 실천하는 백성들과 접촉하는 일도 항상 스쳐 지나가듯 남몰래 이루어진다.
그러다가 7일마다 하루씩 天主께 바쳐진 날이 있다는 것을 어디선가 보아 알게 되자, 매달 7일, 14일, 21일, 28일 모든 세상일을 중단하고, 영혼 수련에 대해 생각하면서 小齋를 지켰다. 그들이 이러한 수련을 얼마동안이나 지속했는지는 모르지만, 그들은 다른 누구에게도 말하지 않고 극비리에 이를 행하였다. 그런데 뒤이은 사실들에 비추어볼 때 적어도 그들중 대부분은 이를 오래 지키지는 못한 듯하다.
檗의 열렬한 마음에 풍요로운 씨앗이 심어졌다. 이러한 시작이 얼마나 보잘것없는지 그는 느끼고 있었고, 그의 모든 생각과 시선은 시작된 과업을 완수하는 데 필요한 책들을 구할 수 있으리라 기대하던 中國을 향해 있었다. 이러한 조바심 가운데 몇 년이 흘렀고, 그가 목표에 다다르기 위해 바친 노력에 관해서는 우리에게 알려진 바가 없다.
1783년 초여름, 4월 보름날, 누이의 忌日을 맞아 마재 丁씨네에 갔다가 한양으로 돌아오는 길에, 檗은 丁氏 두 형제 若銓, 若鏞과 함께 배에 올랐다. 한양까지 오는 동안 그들의 주된 관심은 여전히 철학적 대화와 연구였다. 조선의 책 몇 권을 검토한 다음, 그들의 정신은 서양인들의 學說에 이르렀다. 그들은 天地와 인간의 창조, 영혼의 靈性과 不滅性, 그리고 來世에 천당과 지옥에서 받는 賞罰 등의 道理에 대해 차례로 자세히 토론하였다. 모든 사람이 이 道理의 참됨을 인정하고 믿게 되었으며, 그토록 아름답고 기분좋은 진리를 처음 듣는 여행객들도 모두 놀라고 기뻐하였다. 그 무렵에 이런 토론모임이 되풀이 있었으리라는 것은 의심의 여지가 없고, 또 檗의 끓는 열정이 휴식을 취하지 않았을 터이지만, 상세한 내용은 전해지지 않고 있다. (확실한 사실은, 당시 조선에 들어와 있던 西學 서적들에 대해서, 그리고 또한 천주교에 관한 몇 권의 서적들에 대해서 대부분의 지식인들이 보았거나 이야기를 들었다는 것이다. 그런 책들에 관심을 갖는 것이 유행이었는데, 문헌들이 전하는 바에 의하면, 조선인들은 北京에 연례적으로 가던 사절단을 통해 중국과 교류를 하면서 새로운 학문에 접할 기회가 자주 있었던 것이다. 이로 미루어 천주교 敎理의 초보적 개념들이 널리 유포되어있었음을 짐작할 수 있는데, 당시의 서적들은 聖敎를 자세히 소개하는 것은 아니었다.)
그는 천주의 존재와 標徵에 대한 초보서적들과 <七克>을 훑어보고 난 뒤, 행복감에 사로잡혀 기쁨을 억누르지 못하면서 檗에게 무엇을 해야 할 지 물었다. 檗은 承薰에게 이렇게 말을 계속하였다. “자네가 北京에 가게 되었음은 天主께서 우리나라를 불쌍히 여기시면서 구원하고자 하심을 나타내는 표시일세. 도착하거든 바로 天主堂을 찾아가 서양 선비들과 상의하여, 모든 것에 대해 물어보고, 그들과 함께 교리를 깊이 연구하여 천주교 실천에 대한 모든 것을 상세히 알아오며, 필요한 책들을 가지고 오게. 生死에 관한, 즉 來世에 관한 莫重之事가 자네 손에 달려있으니, 가서도 가벼이 행동해서는 아니 되네.” 承薰은 가슴 깊이 파고드는 이러한 말을 열심히 새겨들었고, 이를 大道師, 스승의 말씀(la parole du Maître)처럼 받아들였으며, 공동의 소원을 이루기 위해 모든 노력을 다 할 것을 약속하였다. 檗이 한 말을 살펴보면, 檗은 서양학문과 천주교에 똑같이 목말라하고 있었음을 쉽게 알 수 있다. 그리고 많지 않은 말 속에서도, 그의 智力은 이미 천주교를 세계와 사회의 토대로 이해했음을 엿볼 수 있으며, 이번 일이 그에게는 오직 唯一無二하게 긴요한 일이 되었음을 알 수 있다. 또한 이것은, 그가 곧 시작하게 될 大業, 즉 처음으로 천주교의 씨앗을 전파하는 大業을 위하여 天主의 恩寵이 이 사람을 이미 준비시키신 것이다.
(卞基榮 神父 註:단어 풀이:프랑스어 원문에 나오는 “Maître”라는 말은 영어(master), 프랑스어(maître), 이태리어(maestro), 등에서, “스승”이라는 뜻을 가지고 있는데, 원문의 la parole du Maître 와 같이, 첫 글자를 大文字로 쓰게 되면 일반적 의미의 “스승”이라는 뜻이 아니라, 孔子, 孟子, 예수, 釋迦牟尼, 소크라테스, 같은 인류의 위대한 大聖賢君子를 의미한다. 그러므로 이승훈 선생이 이벽선생의 말씀을 大聖賢의 권위있는 말씀으로 받아들였다는 뜻이다. )
Daveluy 주교의 朝鮮殉敎史 備忘錄 序文의 위 우리말 번역문은 김형래 교수가 번역한 것이다. 原文제목은 Notes pour l\\\'histoire des martyrs de Corée vol 4 (pp. 5 - 29).
한국 천주교회사를 밝히시는 변 기영 묜시놀님의 헌신적인 노력을 높이 평가 하면서 조금이나마 많은 신자들에게 홍보 되어지기를 진심으로 바라면서 머나먼 미국 땅에서 이 자료를 정리를 합니다. 양 방수(바오로).
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